Du sol nu à la diversité biologique

Un jardin privé peut-il contribuer:
à la préservation des sols?
à la diversité biologique?
Quelques années auparavant…

Le sol, nu et souillé par des déchets de construction, a été nettoyé.
Pas à pas
La terre, tassée par piétinement, souffrait de battance (stagnation de l’eau, ruissellement) Une terre quasi morte et hydromorphe De nombreux arbres et arbustes ont été plantés et paillés Un transfusion de l’ancien jardin vers le nouveau a été opérée! Un sérieux paillis protecteur a été déposé pour reconstituer la structure du sol
La surface a été subdivisée pour créer des pare-vent, des micro-climats,des zones d’utilités diverses
L’hémicycle (dégagement au nord de l’habitation et détente) Le potager (en tenue d’hiver) Le coin du cerisier (jeu et production fruitière) Derrière l’écurie (bio-diversité) Le long de la route (pare-vent, pare-vue et ornementation) Le banc de l’ovale (détente) Un des biotopes humides avec massette L’ovale en début d’hiver L’ovale vu du Nord L’ovale, pelouse en reconversion après les sécheresses Le pré